Une chanson
Aimé Vingtrinier
Un texte paru en 1882 évoque avec nostalgie le temps où la chanson populaire était vivante et n’avait pas encore « pénétré dans le cabinet des érudits et des savants ». Il cite le premier couplet d’un chanson dauphinoise, dont le second est forézien, preuve que les chansons voyageaient.
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