Le bois du Châtelard (Aveize) au XVIIIe siècle.
Philippe Blanc
« En 1764, les religieuses de l’Argentière adressent une requête [...] pour obtenir une dispense » de réserver un quart de leur bois pour le roi. Elles ont besoin de bois de chauffage, et il n’y a pas de bonne futaie. Les Eaux et Forêts rédigent un rapport, dont l’article reprend l’essentiel, qui donne raison à la communauté.
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